1er Prix, offert par l’Association des écoles d’avocats & Prix du Jury étudiant, offert par le Mémorial de Caen
“Pour le pire”
2e Prix, offert par le Conseil d’administration des écoles d’avocats
“Chaque jour, croiser la mort dans les yeux”
Strasbourg ERAGE Grand Est
“Maman, tu vas me manquer”
Versailles HEDAC
“Qui s’en souviendra ?”
Toulouse EDASOP
“Ma sœur, je ne suis pas morte”
Poitiers ECOA
“Celle qui avait les pieds légers”
Montpellier EDACS Centre Sud
“Le cœur d’un fœtus pour le cœur de sa mère”
Paris EFB
“Bien plus que des maux”
Rennes EDAGO
“À chœur perdu”
Bordeaux ALIENOR
“Le prestige des clochers”
Philippe Duperron
Président de l’association « 13ONZE15 FRATERNITÉ ET VÉRITÉ, association de victimes des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis », Philippe Duperron est le père de Thomas, décédé au Bataclan.
L’association, créée en janvier 2016 par des victimes et proches de victimes des attentats survenus le 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis, œuvre notamment en faveur de l’amélioration de la prise en charge globale et dans la durée des victimes, elle s’emploie à perpétuer la mémoire des victimes et œuvre à la prévention de la radicalisation.
Philippe Duperron est avocat honoraire et ancien Bâtonnier de l’ordre des avocats au barreau d’Alençon (2008-2009).
Kléber Arhoul / Directeur général du Mémorial de Caen
Philippe Duperron / Président de l’association “13ONZE15 FRATERNITÉ ET VÉRITÉ, association de victimes des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et Saint-Denis”
Justine Grenier / École des avocats de Lyon
Zoé Vandaële / École des avocats de Rennes
Hugo Vinial / École des avocats de Bordeaux
Pépita Alemany / École des avocats de Marseille
Marine Gehin / École des avocats de Strasbourg
Alex Yousfi / École des avocats de Lille
Savannah Uzan / École des avocats de Paris
Andréa Raffaelli / École des avocats de Montpellier
Azéline Maite / École des avocats de Poitiers
Océane Hilaire / École des avocats de Toulouse
Bertrand Heyberger / École des avocats de Versailles
Art. 1 : Le concours est organisé par le Mémorial de Caen en partenariat avec les écoles d’avocats suivantes : école d’avocats de Paris (EFB), de Versailles (HEDAC), du Nord-Ouest (IXAD), du Grand-Est (ERAGE), de Rhône-Alpes (EDARA), du Sud-Est (EDASE), du Centre-Sud (EDACS), du Sud-Ouest Pyrénées (EDASOP), de Bordeaux (Aliénor), du Centre-Ouest (ECOA) et du Grand-Ouest (EDAGO).
Art. 2 : Le concours est ouvert aux étudiant.e.s inscrit.e.s dans une des écoles d’avocats mentionnées à l’article 1.
Art. 3 : Le/la candidat.e doit rédiger une plaidoirie relative à un cas avéré et individuel de violation des droits de l’homme, tiré de l’actualité récente et dont il/elle doit obligatoirement justifier. Cette plaidoirie sera prononcée devant un jury et un large public, le jour de la finale.
Art. 4 : La sélection des candidat.e.s qui participeront à la finale nationale est effectuée par les écoles d’avocats qui réuniront un jury. Le/la lauréat.e de cette présélection représentera son école lors de la finale à Caen.
Art. 5 : Les candidat.e.s sélectionné.e.s pour la finale doivent adresser le texte de leur plaidoirie au Mémorial de Caen au plus tard le vendredi 9 février 2024. L’adresse est la suivante : avocats@memorial-caen.fr
L’inscription au concours doit obligatoirement se composer des 3 éléments ci-dessous : 1. Le texte complet (sous format Word) de la plaidoirie dans le format indiqué à l’article 3 2. Un justificatif d’inscription dans une école d’avocat 3. Des éléments de preuves justifiant que la cause plaidée est un cas avéré |
Art. 6 : Après envoi, aucune modification ne pourra être apportée au texte.
Art. 7 : Les onze élèves avocat.e.s sélectionné.e.s participent à la finale organisée par le Mémorial de Caen. Ils/elles sont invité.e.s à plaider en public devant un jury composé de personnalités engagées dans la défense des droits de l’Homme et devant un jury d’étudiants en Droit.
Art. 8 : Les candidat.e.s disposent d’un temps de parole de 10 minutes maximum. Tout dépassement constituera un facteur défavorable.
Art. 9 : La plaidoirie prononcée doit être conforme à la plaidoirie écrite envoyée au Mémorial.
Art. 10 : Les candidat.e.s sont jugé.e.s sur le sujet (cas avéré et individuel tiré de l’actualité récente), la solidité de l’argumentaire, la force de conviction, le talent oratoire et le respect du temps de parole.
Art. 11 : L’ordre de passage de la finale est tiré au sort.
Art. 12 : Il est demandé aux élèves avocat.e.s de se présenter en tenue civile, à l’exclusion de tout signe ostentatoire.
Art. 13 : Le Mémorial de Caen prend en charge le dîner et l’hébergement en hôtel, le vendredi 15 mars au soir, ainsi que le déjeuner du samedi 16 mars 2024. Les autres frais sont à la charge des écoles selon les modalités arrêtées par chacune d’elles. Les personnes accompagnant les avocat.e.s finalistes (frais de déplacement, de restauration et d’hébergement) sont à la charge des candidat.e.s.
Art. 14 : Les finalistes s’engagent à accepter les demandes d’entretiens sollicitées par la presse. Ils/elles s’engagent à accepter que des photos et des vidéos soient faites sur leur prestation orale. Ces images pourront être reprises par la presse, les réseaux sociaux ou par les organisateurs. Ils/elles acceptent aussi que leur texte soit diffusé en tout ou partie pour la promotion du concours.
Art. 15 : En cas de difficultés majeures, le Mémorial de Caen se réserve la possibilité d’annuler le concours.
Art. 16 :
Trois prix sont décernés par le jury officiel :
1er Prix d’une valeur de 2 500 €
Offert par l’Association des écoles d’avocats
2e Prix d’une valeur de 1 500 €
Offert par le Conseil d’administration des écoles d’avocats
3e Prix d’une valeur de 750 €
Offert par les présidents des écoles d’avocats
Un Prix est décerné par le jury des étudiants (une E-carte « culture » d’une valeur de 200 € et 2 bandes dessinées)
Offert par le Mémorial de Caen
Art. 17 : « Conformément à la loi Informatique et Libertés, les candidat.e.s disposent d’un droit d’accès et de rectification aux données personnelles les concernant ».
Jeu concours sans obligation d’achat
Le Mémorial de Caen donne la parole aux avocats, élèves avocats et lycéens qui souhaitent défendre un cas de violation des droits de l’Homme.
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