En 1994, à l’occasion du 50e Anniversaire de la libération de l’Europe, est inauguré le jardin américain…
Il s’organise autour d’une cascade, symbole de vie, à proximité de laquelle sont présentées les plaques des cinquante États Américains.
En 1995, le comité de soutien canadien crée aussi son jardin…
Conçu par douze étudiants en architecture des universités de Montréal et Ottawa, le jardin canadien est un lieu empreint de recueillement. Sur le muret figurent les noms des 122 communes normandes libérées par des soldats canadiens. Les paroles de Virgile sont gravées dans la plaque de granit noir au centre du monument : “Nulla dies umquam memori vos eximet aevo” (jamais le temps ne vous effacera de la mémoire des âges).
En 2004, le Prince Charles inaugure le jardin britannique…
Il a été conçu et réalisé pour les “British Friends of Normandy” avec l’aide de la Ville de Caen.
Diverses sculptures évoquent la participation des différentes Forces armées au conflit : la Royal Air Force, la Royal Navy et les 15 divisions britanniques sont représentées par des cyprès qui longent une colonnade fleurie. Il rend aussi hommage à la Marine marchande et aux civils qui contribuèrent aux opérations de la bataille pour la Libération de Caen.
La pergola de l’entrée, en forme de croix celtique, rappelle l’engagement des Régiments Irlandais. Le Temple des esprits, monument central du Jardin, rend hommage à ceux qui ont perdu la vie. Par une arche de conifères, on accède au lieu de méditation : le Jardin de la Paix.
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