Retransmission en direct
Regardez la finale du concours de plaidoiries pour les droits de l’homme des lycéens.
Lycée de la Nouvelle Chance (Cergy-Pontoise)
3e prix
«Petites filles, grandes victimes : quand la tradition tue l’avenir des fillettes en Irak»
Lycée Augustin Fresnel (Caen)
Prix du jury lycéen
«Aide Sociale à l’Enfance, quand la protection devient destruction»
Lycée Brocéliande (Bellevue-Coëtquidan)
« Enfants soldats du Mozambique »
Lycée Jean Sturm (Strasbourg)
« Le viol au Congo, anatomie d’une arme de guerre »
Lycée Lyautey (Casablanca – Maroc)
« Voile et violence »
Lycée Victor Hugo (Paris)
« Le cancer ou la faim »
Lycée Augustin Fresnel (Caen)
« Aide Sociale à l’Enfance, quand la protection devient destruction »
Lycée Gustave Flaubert (Rouen)
« Transidentité et prison : une affaire de dignité »
Lycée Jean-Paul de Rocca Serra (Porto-Vecchio)
« Afghanes, voix étouffées, droits confisqués »
Lycée de la Nouvelle Chance (Cergy-Pontoise)
« Petites filles, grandes victimes : quand la tradition tue l’avenir des fillettes en Irak »
Lycée Notre-Dame (Mende)
« Le Kremlin, geôlier de la liberté d’expression »
Lycée Saint-Ouen (Pont-Audemer)
« Un pour tous, tous pour l’école ! »
Lycée Champagnat (Saint-Symphorien-sur-Coise)
« Un mutisme criant »
Lycée Jean Monnet (Cognac)
« La rue : droits des femmes exclus »
Lycée François de Malherbe (Caen)
« Les répressions continuent dans la dernière dictature d’Europe »
Lycée Jean Monnet (Cognac)
« Porno, entre fiction et violence »
Kléber Arhoul / directeur général du Mémorial de Caen
Présidente du jury Annick Cojean / grand reporter au journal Le Monde
Anna-Gioia FARA / Lycée Jean-Paul de Rocca Serra (Porto-Vecchio)
Léonie MORNET / Lycée Jean Monnet (Cognac)
Rania FTATI / Lycée de la Nouvelle Chance (Cergy-Pontoise)
Mathis CHEVALLEY / Lycée Jean Sturm (Strasbourg)
Sarah CLAUDE / Lycée Augustin Fresnel (Caen
Amélie COSSON / Lycée Gustave Flaubert (Rouen)
Camille GUILLAUME / Lycée Notre-Dame (Mende)
Rissala-Seray CHOUCHAOUI / Lycée Lyautey (Casablanca – Maroc)
Victoria LULLIER / Lycée Champagnat (Saint-Symphorien-sur-Coise)
Adrienne BOCQUET-GENTRIC / Lycée Brocéliande (Bellevue-Coëtquidan)
Bianca CIANCI / Lycée Victor Hugo (Paris)
Laura LECLERC / Lycée Saint-Ouen (Pont-Audemer)
Clémence RORTAIS / Lycée Jean Monnet (Cognac)
Aline PIGRÉE / Lycée François de Malherbe (Caen)
Rencontre et échanges avec les 14 finalistes
Art. 1 : L’organisateur du 28e concours de plaidoiries des lycéens sur les droits de l’Homme est le Mémorial de Caen (Esplanade du général Eisenhower, CS 55026, 14050 Caen cedex 4).
Art. 2 : Les candidats doivent prononcer une plaidoirie illustrant une situation d’atteinte aux droits humains. La plaidoirie devra porter sur une cause concrète récente (années 2023 et 2024). Elle devra obligatoirement s’appuyer sur un ou plusieurs cas particuliers concernant une ou des personnes persécutées.
Votre argumentation devra être étayée par des références à des textes juridiques variés. Justifiez vos affirmations par des références à des articles de lois, des conventions internationales, des traités internationaux, la Constitution des pays incriminés… Ne citez pas seulement la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948.
Art. 3 : Le concours est ouvert à tous les lycéens de France métropolitaine, des départements d’Outre-mer et des lycées français à l’étranger.
Art. 4 : Seules les candidatures individuelles sont acceptées.
Art. 5 : Pour la première sélection, chaque candidat doit s’inscrire en ligne sur ce site au plus tard le mercredi 20 novembre 2024 (23h59)
L’inscription se compose obligatoirement des 2 éléments suivants :
1. Le formulaire de candidature complété sur notre site internet. Attention ! Tous les champs obligatoires doivent être remplis.
2. Une vidéo du candidat présentant un résumé de sa plaidoirie.
Durée : environ 1 minute.
Cadrage : face caméra. Pas de montage, pas de mise en scène.
Après avoir enregistré et mis en ligne la vidéo sur YouTube – cf. tuto ci-dessous – insérez le lien de votre vidéo dans le formulaire de candidature complété avant de le soumettre.
Attention ! N’oubliez pas de vérifier dans vos spams, l’accusé de réception peut s’y trouver. Si vous ne recevez pas l’accusé de réception dans ce délai, soumettez une nouvelle fois votre candidature.
Comment mettre en ligne une vidéo sur Youtube ? – Accédez au site www.youtube.com – En haut à droite, cliquez sur « se connecter » et connectez-vous via votre compte Gmail. Si vous ne possédez pas encore de compte Gmail, inscrivez-vous. – Une fois connecté, cliquez en haut à droite sur l’icône « créer une vidéo ou un post », puis « mettre en ligne une vidéo ». – Avant de sélectionner le fichier vidéo à importer, veillez à bien choisir « non-répertoriée » dans la liste déroulante (afin de ne pas rendre publique votre vidéo). – Sélectionnez le fichier vidéo à importer depuis votre ordinateur ou bien glissez/déposez le fichier sur l’application Youtube. – Votre vidéo se charge sur l’application. – Sous l’onglet « informations générales », vérifiez que votre vidéo est bien « non-répertoriée » dans la liste déroulante située à droite. – Cliquez sur « OK » en haut à droite pour valider la mise en ligne de votre vidéo. – Le message suivant s’affiche : « votre vidéo est désormais disponible à cette adresse : https://youtu.be/votre-adresse ». – Copiez l’adresse de la vidéo et insérez-la dans le formulaire d’inscription. |
Art. 6 : Le Mémorial sélectionne 150 candidatures sur le total des candidatures envoyées. La sélection ne se fait plus par région mais au niveau national. Les résultats de cette première sélection seront mis en ligne au plus tard le mardi 17 décembre 2024 (18h00).
Art. 7 : Seuls les candidats sélectionnés seront prévenus, par téléphone ou par mail.
Art. 8 : Les 150 candidats sélectionnés devront réaliser une seconde vidéo dans laquelle la plaidoirie devra être prononcée dans son intégralité et envoyée au Mémorial au plus tard le lundi 13 janvier 2025 (23h59). La plaidoirie sera filmée en plan fixe, sans montage.
Les candidats devront garder la même cause que celle présentée dans la première vidéo.
Les candidats seront jugés sur :
– L’argumentation s’appuyant sur différents textes de loi, constitutions des pays, droit local, déclarations… ;
– La force de conviction (privilégier la sobriété et la sincérité) ;
– Le respect du droit français (respect de la présomption d’innocence) ;
– Le respect du temps de parole.
Art. 9 : Pour cette deuxième sélection, les candidats ont 6 minutes maximum pour prononcer leur plaidoirie dans sa totalité. Tout dépassement du temps de parole constitue un facteur défavorable.
Art. 10 : La liste des 14 finalistes sera diffusée sur notre site internet au plus tard le mardi 4 février 2025 à 18h00.
Art. 11 : Dans le cadre de la finale nationale, le Mémorial de Caen organise et prend en charge le séjour. Ce séjour aura lieu du jeudi 13 au samedi 15 mars (sous réserve de modifications).
Art. 12 : Le Mémorial de Caen prend en charge le séjour de chaque finaliste (déplacement, hébergement et restauration sur place).
Les finalistes mineurs peuvent être accompagnés par une personne majeure (parent ou professeur). Celle-ci s’engage à veiller au respect du programme établi par le concours. Si un finaliste mineur souhaite venir non accompagné à la finale nationale, une décharge signée d’un parent ou d’un tuteur légal est obligatoire.
Pour les finalistes majeures, aucun accompagnateur n’est prévu.
Le séjour (frais de déplacement, de restauration et d’hébergement) des autres personnes accompagnant les finalistes n’est pas pris en charge par le Mémorial.
Art. 13 : Le Mémorial de Caen assure la réservation et l’organisation de l’ensemble des déplacements des finalistes lors de leur séjour. Afin d’assurer le bon déroulé du programme, il est demandé aux finalistes de respecter les horaires communiqués par l’équipe organisatrice.
Art. 14 : En dehors des activités prévues dans le programme officiel, le Mémorial de Caen décline toute responsabilité en cas d’accident et de dégradations.
Art. 15 : La finale nationale se déroule au Mémorial de Caen le vendredi 14 mars 2025.
Art. 16 : Chaque finaliste doit envoyer au Mémorial de Caen le texte de sa plaidoirie au plus tard le lundi 3 mars. La plaidoirie prononcée lors de la finale doit être conforme au texte envoyé. Seules quelques modifications sont tolérées.
Art. 17 : L’ordre de passage de la finale est tiré au sort
Art. 18 : Les finalistes ont 6 minutes maximum pour prononcer leur plaidoirie. Tout dépassement du temps de parole constituera un facteur défavorable.
Art. 19 : Sur scène, aucun objet ne peut être utilisé mis à part le texte de la plaidoirie.
Art. 20 : La finale du concours se déroulant dans un lieu public et dans le cadre scolaire, aucun signe ostentatoire d’appartenance religieuse, idéologique ou autre ne sera toléré.
Art. 21 : En cas de difficultés majeures, le Mémorial de Caen se réserve la possibilité d’annuler le concours.
Art. 22 : 1er Prix – Prix doté par la MGEN : un séjour de 2 nuits dans une capitale européenne.
Conditions de ce voyage : voyage prévu pour le lauréat et un accompagnateur majeur.
Transport : aller et retour depuis le domicile du lauréat organisés et financés par la MGEN.
Hébergement : 2 nuits dans un hôtel financées par la MGEN.
Organisation du séjour : à voir avec le Mémorial de Caen
Art. 23 : 2e Prix – Prix doté par Amnesty International : objet numérique
Art. 24 : 3e Prix – Prix doté par le magazine Phosphore : objet numérique
Art. 25 : Prix du jury lycéen – Ce prix est attribué par un jury composé de lycéens. Il est doté par le Mémorial de Caen : une e-card culture d’une valeur de 250€
Art. 26 : Les finalistes autorisent l’utilisation et la diffusion de leur image et de leur voix. Ils s’engagent à accepter que des photos et des vidéos soient faites de leur prestation orale et pendant toute la manifestation. Ces images pourront être reprises par la presse, les réseaux sociaux ou par les organisateurs. Ils acceptent qu’une diffusion en live soit faite par le Mémorial de Caen sur les réseaux sociaux.
Art. 27 : Les finalistes acceptent que le texte de leur plaidoirie soit diffusé afin d’assurer la promotion du concours.
Art. 28 : Conformément au Règlement général de protection des données (RGPD), les candidats disposent d’un droit d’accès et de rectification aux données personnelles les concernant.
Jeu concours sans obligation d’achat
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